« On ne boit pas, on donne un baiser et le vin vous rend une caresse. »
Michel de Montaigne
Une atmosphère unique
Dans un espace convivial, créé avec des éléments de récupération, vous pourrez partager vos découvertes viticoles, vos épopées de glisses et expériences gustatives; autour d’une grande table, sur balancelle ou au comptoir.
La qualité au cœur de la sélection
Une terre, une vigne et un.e vigneron.ne sont les piliers d’un vin.
La main sublimera ce que la nature et les générations précédentes ont préparé.
Au travers des flacons d’aujourd’hui, s’engage une discussion avec le.a vigneron.ne, ses ancêtres et la gourmandise.
Les vins proposés proviennent de 18 producteurs indépendants, deux maisons sont dans la même famille depuis 5 siècles et chacun d’entre eux apportent le plus grand soin à chaque étape de la création du vin.
Du grain aux vins, jusqu’au design des flacons et de l’étiquette, la beauté, la tradition, l’authenticité sont pour chacun et chacune d’eux, leurs racines profondes.
Mais d’où vient ce nom ?
Larkya La est l’un des plus longs col népalais culminant à 5106m d’altitude, situé dans la province du Gandadaki au cœur de la région du Manang. Il est le chemin d’accès à Larkya (6249m) très proche de la montagne des esprits, le Manaslu (8163m) seul pic des 8000m entièrement à l’intérieur des frontières du Népal. Ce passage mène à un village et une école bouddhiste enfermée derrière la frontière chinoise. Durant l’été, le ravitaillement est encore acheminé par des caravanes de muletiers, le chemin n’étant pas carrossable. De jeunes gens accomplissent la même tâche qu’ont effectué nos ancêtres, ici, dans les Alpes durant des millénaires.
Un col, est un point de passage entre deux massifs, deux versants, parfois deux pays. Une élévation du corps et de l’esprit. Lorsqu’on le gravit, la montée est difficile, paraît infinie… Pour se rendre compte du chemin accompli, il faut se retourner vers la vallée. Arrivé au sommet, l’horizon s’installe, immense, différent. Le point de vue sur chaque côté est unique ; le profil des cimes qui l’effleure, les monts qui s’alignent au loin… Assis sur ce trait d’union ; on se sent comme sur les épaules des géants. Le sommet est beau, il libère un sentiment d’accomplissement, la satisfaction de la réussite, le soulagement de la fin. Le col est un point de passage, le couteau de la balance, les prémisses de la descente source de nouvelles aventures, de nouveaux dangers, d’autres plaisirs. L’accueil que nous réserve cette vallée, l’horizon qui grandit, le paysage qui gagne en volume étirant les cimes à la verticale …On s’enfonce dans la Terre. Le chemin parcouru nous a endurci, torturé, élevé, émerveillé, soulagé, meurtri, et transformé.
« Ce sentiment est le même, à mon sens lorsque que l’on choisit et déguste une bouteille de vin. Le choix est difficile, les indices qui décrivent le contenu sont petits, fallacieux, fourbes et parfois faillibles. Le choix est un saut dans l’inconnu. Une fois en bouche, l’expérience apporte des plaisirs infinis à chaque fois, différents, ils nous transportent, parfois nous déçoivent, mais nous surprend toujours. » JB Grangeon
Cette caresse est permise par les génération de vignerons qui ont façonner les vignes et les techniques que les hommes et femmes d’aujourd’hui, vous concentre dans ces flacons de bonheur. Ces géants nous permettant de déguster plus loin, aujourd’hui.
Les homophones de LARKYALA, sont le dernier pont entre l’Himalaya et le bar à vin
« L’art qui à là »
aux murs comme dans le creux du calice
« Lard ! Qui à la ! »
coupé très fin par la trancheuse
Larkyala - Bar à vin - La Rosière 